Les références culturelles extralinguistiques dans le sous-titrage du film « Qu’est-ce qu’on fait au Bon Dieu ? »
Lyytikäinen, Klaudia (2022-04-29)
Les références culturelles extralinguistiques dans le sous-titrage du film « Qu’est-ce qu’on fait au Bon Dieu ? »
Lyytikäinen, Klaudia
(29.04.2022)
Julkaisu on tekijänoikeussäännösten alainen. Teosta voi lukea ja tulostaa henkilökohtaista käyttöä varten. Käyttö kaupallisiin tarkoituksiin on kielletty.
avoin
Julkaisun pysyvä osoite on:
https://urn.fi/URN:NBN:fi-fe2022053039670
https://urn.fi/URN:NBN:fi-fe2022053039670
Tiivistelmä
Cette étude porte sur les références culturelles extralinguistiques relevées dans le film Qu’est-ce qu’on fait au Bon Dieu ? Mes deux questions de recherches ont été 1) quels types des références culturelles extralinguistiques existent-elles dans le film intitulé Qu’est-ce qu’on fait au Bon Dieu ? 2) Quelles stratégies de traduction ont été utilisées pour traduire ces références culturelles extralinguistiques ? 3) Pourquoi les traducteurs ont choisi ces stratégies pour traduire les références culturelles extralinguistiques ? Le matériel de cette étude est composé de 60 références culturelles extralinguistiques françaises et de leurs équivalents finnois relevés dans le sous-titrage du film.
Les références culturelles extralinguistiques ont été classées en cinq domaines différentes qui étaient les toponymes, les aliments, les gens, les locutions et expressions idiomatiques et les autres mots. Le domaine du toponyme contient 6, le domaine d’aliments 17, le domaine des gens 15, le domaine de locutions et d’expressions idiomatiques contient 10, et le domaine d’autres mots 12 unités de traductions. Ensuite, la stratégie de traduction utilisée pour chaque référence a été déterminée. La stratégie de traduction a été soit la conservation, la spécification, la traduction directe, la généralisation, la substitution ou l’omission. Les résultats de l’analyse ont montré que la plupart des références culturelles extralinguistiques se trouvaient dans le domaine d’aliments. En outre, la stratégie la plus utilisée était la substitution et celle qui était la moins utilisée était l'omission. Le mode de traduction, le sous-titrage, a ses propres contraintes, ce qui a pu se refléter dans les résultats : l’espace des sous-titres est limité. En résumé, les traducteurs ont utilisé plus des stratégies ciblistes : la substitution et la généralisation, c’est-à-dire la langue et la culture finnoises ont été favorisée au lieu de la langue et la culture sources.
Les références culturelles extralinguistiques ont été classées en cinq domaines différentes qui étaient les toponymes, les aliments, les gens, les locutions et expressions idiomatiques et les autres mots. Le domaine du toponyme contient 6, le domaine d’aliments 17, le domaine des gens 15, le domaine de locutions et d’expressions idiomatiques contient 10, et le domaine d’autres mots 12 unités de traductions. Ensuite, la stratégie de traduction utilisée pour chaque référence a été déterminée. La stratégie de traduction a été soit la conservation, la spécification, la traduction directe, la généralisation, la substitution ou l’omission. Les résultats de l’analyse ont montré que la plupart des références culturelles extralinguistiques se trouvaient dans le domaine d’aliments. En outre, la stratégie la plus utilisée était la substitution et celle qui était la moins utilisée était l'omission. Le mode de traduction, le sous-titrage, a ses propres contraintes, ce qui a pu se refléter dans les résultats : l’espace des sous-titres est limité. En résumé, les traducteurs ont utilisé plus des stratégies ciblistes : la substitution et la généralisation, c’est-à-dire la langue et la culture finnoises ont été favorisée au lieu de la langue et la culture sources.